Chers confrères, chers consoeurs,
Voilà LA goutte voire deux qui font déborder la coupe !
Comme si le confinement, la situation sanitaire, économique et sociale ne suffisaient pas à animer le quotidien des vignerons, ce mois d’avril débute par un gel d’une ampleur inédite et met à rude épreuve les vignerons à Bordeaux ainsi que dans d’autres régions viticoles. Au nord de l’Hexagone, seul le vignoble alsacien semble tirer son épingle du jeu, alors que dans le sud, rares sont ceux qui ont été épargnés.
Un gel, pire que 2017 ?
Certains vignerons semblent bien le confirmer en rappelant même des souvenirs du gel de 1991 !
Toutes nos pensées vont à ces vignerons et œnologues, à ces agriculteurs qui subissent également les dégâts du gel dans leurs vergers malgré les moyens colossaux déployés pour lutter contre les trois nuits de gel consécutives.
Toutes nos pensées vont surtout à tous ceux qui n’ont pas eu les moyens nécessaires et à qui il ne reste que les yeux pour pleurer une récolte dévastée !
Face à cette catastrophe, la deuxième goutte qui a fait déborder la coupe est cette indignation sur les réseaux sociaux de quelques internautes face à la pollution, sonore et
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